En 2011, le RNCREQ a célébré ses vingt ans de mobilisation et d’action au Québec.
Pour souligner cet événement marquant, le RNCREQ a publié l’ouvrage Le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement : 1991-2011, qui retrace, à travers le contexte sociopolitique québécois, les étapes de la vie de notre organisme et les grandes actions que nous avons menées avec les conseils régionaux de l’environnement.
Le RNCREQ dédie ce livre à tous ceux et celles qui, avec dévouement, enthousiasme, respect et créativité, unissent leurs forces pour construire un Québec et un monde où il fait bon vivre.
Pourquoi cet ouvrage?
L’année 2011 marque les vingt ans d’existence du Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (RNCREQ). C’est une occasion unique de tracer un portrait de ce réseau, ainsi qu’un bilan de l’action des conseils régionaux de l’environnement (CRE ) au cours de cette période, tout ceci intégré dans le contexte politique, social et environnemental de ces années plutôt effervescentes. Plus encore, voilà l’opportunité de revenir plus en détail sur ce chapitre important de l’histoire contemporaine du Québec où tant de débats ont façonné notre société, à la fois province et nation.
Bien que l’histoire du RNCREQ ne commence officiellement qu’en 1991, celle des CRE débute près de deux décennies plus tôt. C’est dans ces circonstances que nous allons remonter aux années 70 pour relater la naissance des tout premiers CRE, ceux du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de l’Est du Québec. Nous verrons aussi que ce n’est que quinze ans plus tard, à la fin des années 80, que s’amorcera la création des autres CRE et la mise en place du réseau.
Remerciements
Le RNCREQ tient à remercier chaleureusement pour le temps qu’ils ont accordé à l’équipe et pour leur contribution au contenu : Luce Balthazar, Jean-Guy Dépôt, Guy Lessard, Pierre Morency, Denise Proulx, Roger Riendeau, Jacques Ruelland, Pierre Sallafranque, Claudette Villeneuve.
La rédaction de ce livre a aussi été rendue possible grâce au soutien du Fonds étudiant solidarité travail du Québec et à une subvention salariale d’Emploi-Québec.